"Ses oeuvres sont liées à la blessure, à la mort, et souvent les visiteurs ont un mouvement de recul devant les gueules cassées. Alors, quand le dialogue s’installe, il explique : « Ils sont blessés mais ils vivent. Ils ont traversé l’épreuve, ils ont passé une étape… »
"Je suis un humaniste" conclue t'il, je m’intéresse à l’humain. Je me sens proche de l’existentialisme sans pourtant avoir lu Sartre : il faut exprimer quelque chose sinon cela ne sert à rien. »
Troublant parcours d’artiste que celui de William Montaudié qui donne sens, encore plus si besoin était, à son art. Quand le corps et ses manifestations rejoignent le projet de l’âme, l’humain qui contemple l’oeuvre voit un bout du voile se lever et se reconnaît dans
le cadre."
Il s'agit là d'un extrait d'un texte beaucoup plus log, plus fourni, écrit par Britte GUILLOT en 2021, qu'il nous a autorisé à utiliser.
Atelier-galerie William Montaudié – 117, rue Georges Clémenceau
46000 Cahors